Avril 2018
Publié le 1 Mai 2018
Gus Van Sant
Christian Sonderegger
Wes Anderson
Bonne nouvelle : Wes Anderson abandonne la naphtaline et le vernis poussiéreux de ses deux précédents films pour retrouver le goût de la liberté ! Si son bricolage atteint désormais une sophistication maniaque, le cinéaste réjouit par la liberté de ton qu'il adopte et le fond profondément politique qui l'habite. Somptueux formellement, joyeux et combatif, L'Île aux chiens, au-delà de son angle antispéciste, rappelle aux endormis la nécessité de la rébellion et du refus des logiques d'exclusion.
Walid Mattar
De bonnes intentions et de bons interprètes (Corinne Masiero réussissant à ne pas être insupportable...) ne suffisent pas à sauver un film aussi laborieux dans son écriture que dans sa mise en scène.